Le Festival Comme ça vous chante met un point d'honneur à laisser s'exprimer la musique
au-delà des frontières stylistiques. Il donne une large place aux projets de créations et aux jeunes artistes.
L'édition 2021, les 10 et 11 septembre au Fish & Chips Pougemin, sur la commune de Louzignac (17160)
a été l'occasion de fêter les dix ans de l'association Comme ça vous chante,
plusieurs sorties de disques, une rencontre éphémère entre six musiciennes, des concerts inédits,
et nos retrouvailles tout simplement, dans ce très beau lieu...
au-delà des frontières stylistiques. Il donne une large place aux projets de créations et aux jeunes artistes.
L'édition 2021, les 10 et 11 septembre au Fish & Chips Pougemin, sur la commune de Louzignac (17160)
a été l'occasion de fêter les dix ans de l'association Comme ça vous chante,
plusieurs sorties de disques, une rencontre éphémère entre six musiciennes, des concerts inédits,
et nos retrouvailles tout simplement, dans ce très beau lieu...
Merci à Jean-Christophe Pratt pour les photos de cette édition 2021 :
SAMEDI 11 SEPTEMBRE :
16h30 : Ensembles éphémères du Grand Village *
(Quintette de Brahms et Concerto pour clavier de Bach)
Gayané Grigoryan et Camille Garin, violon - Alix Gauthier, alto -
Yaëlle Quincarlet et Aurélie Diebold, violoncelle - Alice Rosset, piano
18h : Concert solo, Mathieu ROBERT, saxophone soprano
"Mathieu Robert, un poète, un chercheur, un sculpteur, un plasticien du son, mais aussi un fin technicien,
et un sacré improvisateur. Un artiste pluriel et complet à découvrir sans tarder." Laurent GRAULUS (RTBF)
19h : DUNE
Fanny Ménégoz, flûtes traversières et composition - Rafaël Koerner, batterie et composition
Issu de la complicité entre Fanny Ménégoz et le batteur Rafaël Koener, Dune dévoile une musique empreinte de lignes mélodiques rêveuses, de mouvements rythmiques en équilibre et d’improvisations où l’interaction et les prises de risque sont essentielles.
Le duo Dune fête cet été la sortie de son premier disque "Voyage au creux d’un arbre" sur le label Neuklang.
22h : ÉLEUSIS
Jean-Christophe Kotsiras, piano - Blaise Chevallier, contrebasse - Rafaël Koerner, batterie
Puisant son énergie aux sources vives du jazz le plus exigeant, le trio fait sienne la devise de Lennie Tristano :
Jazz is not a style, it's a feeling". Un cadre strict mais souple, une écriture riche et précise pour nourrir l'improvisation.
Articulé autour des compositions de Jean-Christophe Kotsiras, la musique du trio
vise le mystère de l'expérience et questionne le principe même de toute relation.
DIMANCHE 12 SEPTEMBRE :
12h : EN ATTENDANT ROSA
Lecture de "La Forêt de Fontainebleau" de G. Sand par Anne Danais accompagnée au piano par Alice Rosset
Œuvres de Mel Bonis, Germaine Tailleferre, Clara Schumann
Après Chopin/Sand et Et si Duras aimait Bach, Anne Danais et Alice Rosset préparent leur troisième duo autour de femmes artistes.
Sand affirme que la forêt, et plus largement la nature, est un bien commun de l’humanité. (...)
Sa réflexion expose une conscience remarquable des interactions au sein d’un environnement où la destruction d’un élément
a des répercussions sur tous les autres, et peut constituer une menace pour l’humanité même.
15h : HASINAKIS
Alice Rosset et Jean-Christophe Kotsiras, piano
Hasina cherche à faire exister le répertoire classique en dehors des salles de concert traditionnelles, tandis que Akis
s'intéresse au jazz et développe une approche de l'improvisation et de la composition où se mêlent classique et jazz.
Ensemble, ils créent des liens improvisés, questionnent l'écrit, embrassent l'inattendu, explorent une carte sans cesse renouvelée...
Hasinakis fête cette année la sortie de son premier disque "LINEA, Bach avec Tristano".
16h30 : LYNKS
Philippe Lopes de Sa, saxophones - Jean-Christophe Kotsiras, piano - Philippe Monge, contrebasse
« Tout a commencé par un jeu. Un jeu d'équipe, avec la règle suivante : on improviserait autour des standards de jazz.
Pas d'ordre, pas d'annonce de morceaux à l'avance, pas d'enchaînements prévus. Juste une liste de standards,
un réservoir plutôt qu'un répertoire. Le reste dépendrait de notre habilité à créer du lien.
Liens logiques, liens harmoniques, liens rythmiques, liens culturels, et surtout liens humains. Lynks. »
18h : Ensembles éphémères du Grand Village *
Camille Garin, violon - Alix Gauthier, alto - Yaëlle Quincarlet et Aurélie Diebold, violoncelle - Alice Rosset, piano
(œuvres de Haendel, Mozart, Brahms, Rachmaninov)
* Cette année, l'Orchestre symphonique du Grand Village était remplacée par plusieurs ensembles éphémères.
Les musiciennes Gayané Grigoryan (violon), Camille Garin (violon), Alix Gauthier (alto), Yaëlle Quincarlet (violoncelle),
Aurélie Diebold (violoncelle) et Alice Rosset (piano) ont préparé ensemble durant la semaine précédant le festival,
du 6 au 10 septembre, plusieurs œuvres de musique de chambre, réparties sur deux concerts :
Quintette en fa mineur opus 34 de Brahms pour quatuor à cordes et piano, Passacaille de Halvorsen en sol mineur
sur un thème de Haendel pour violon et violoncelle, Concerto en fa mineur BWV 1056 de J.-S. Bach pour piano
et ensemble à cordes, Trio élégiaque n°1 en sol mineur de Rachmaninov pour violon, violoncelle et piano,
Quatuor n°1 en sol mineur KV 478 de Mozart (Allegro) pour violon, alto, violoncelle et piano,
Sonate n°1 en mi mineur opus 38 de Brahms pour violoncelle et piano.
Des séances de yoga avec Mathieu Robert ont eu lieu le samedi à 14h30 et le dimanche à 10h
(sur réservation : 06 70 13 87 69 ou [email protected]).
Pass 1 jour plein tarif 12 euros / tarif adhérent 8 euros
Pass 2 jours plein tarif 20 euros / tarif adhérent 15 euros
Gratuit pour les moins de 12 ans
Participation libre pour les séances de yoga
Pass 2 jours plein tarif 20 euros / tarif adhérent 15 euros
Gratuit pour les moins de 12 ans
Participation libre pour les séances de yoga
Communiqué de presse + affiche du Festival CCVC 2021.pdf |
* Ensembles éphémères du Grand Village :
Cette année, l'Orchestre symphonique du Grand Village était remplacée par plusieurs ensembles éphémères. Les musiciennes Camille Garin (violon), Gayané Grigoryan (violon), Alix Gauthier (alto), Yaëlle Quincarlet (violoncelle), Aurélie Diebold (violoncelle) et Alice Rosset (piano) ont préparé ensemble durant la semaine précédant le festival, du 6 au 10 septembre, plusieurs œuvres de musique de chambre, réparties sur deux concerts : Quintette en fa mineur opus 34 de Brahms pour quatuor à cordes et piano, Passacaille de Halvorsen en sol mineur sur un thème de Haendel
pour violon et violoncelle, Concerto en fa mineur BWV 1056 de J.-S. Bach pour piano et ensemble à cordes, Trio élégiaque n°1 en sol mineur
de Rachmaninov pour violon, violoncelle et piano, Quatuor n°1 en sol mineur KV 478 de Mozart (Allegro) pour violon, alto, violoncelle et piano, Sonate n°1 en mi mineur opus 38 de Brahms pour violoncelle et piano.
Cette année, l'Orchestre symphonique du Grand Village était remplacée par plusieurs ensembles éphémères. Les musiciennes Camille Garin (violon), Gayané Grigoryan (violon), Alix Gauthier (alto), Yaëlle Quincarlet (violoncelle), Aurélie Diebold (violoncelle) et Alice Rosset (piano) ont préparé ensemble durant la semaine précédant le festival, du 6 au 10 septembre, plusieurs œuvres de musique de chambre, réparties sur deux concerts : Quintette en fa mineur opus 34 de Brahms pour quatuor à cordes et piano, Passacaille de Halvorsen en sol mineur sur un thème de Haendel
pour violon et violoncelle, Concerto en fa mineur BWV 1056 de J.-S. Bach pour piano et ensemble à cordes, Trio élégiaque n°1 en sol mineur
de Rachmaninov pour violon, violoncelle et piano, Quatuor n°1 en sol mineur KV 478 de Mozart (Allegro) pour violon, alto, violoncelle et piano, Sonate n°1 en mi mineur opus 38 de Brahms pour violoncelle et piano.
Camille Garin débute le violon à l’âge de 4 ans. Elle intègre le Conservatoire de Toulouse dans la classe de Nathalie Descamps et obtient son DEM de violon en 2016. Elle obtient cette année-là également son DEM de musique de chambre avec les félicitations du jury dans deux formations différentes, le quatuor à cordes et la sonate avec piano. À 17 ans elle entre à l’unanimité au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris dans la classe de Roland Daugareil, Suzanne Gessner et Christophe Poiget. Elle a également étudié auprès de Micheline Lefebre et bénéficié des précieux conseils d’Amaury Coeytaux et Stephan Picard.
En parallèle, 1er violon du Quatuor Kalik, elle suit un cursus de Licence de quatuor à cordes dans la classe de Jean Sulem et s’épanouit dans cette formation avec laquelle elle bénéficie de master-classes régulières des quatuors Zemlinski, Modigliani et Ebene. En 2020 ils sont sélectionnés au Tremplin de jeunes quatuors de la Philharmonie de Paris et ont l’opportunité de se produire dans plusieurs festivals de musique de chambre. Passionnée d’orchestre également, Camille participe aux sessions d’orchestre de l’Orchestre français des jeunes en 2016 et de MusikA Académie sous la direction de Pierre Bleuse. En 2019 elle a la chance d’intégrer, lors d’un concert à la Cité de la Musique, l’Ensemble Intercontemporain en violon solo sous la direction de Matthias Pintscher.
Camille a participé à plusieurs concours de violon tels que le Concours Vatelot Rampal, Concours international Marie Cantagrill, Concours international Arthur Grumiaux, Concours international de Mirecourt.
Gayané Grigoryan, née à Erevan (Arménie), commence ses études musicales à l’âge de trois ans en piano, puis débute le violon à sept ans avec A. Aroutunyan. Des l’âge de neuf ans elle se produit en soliste à plusieurs reprises dans les concertos de Vivaldi et Mozart avec l’orchestre de chambre d’Erevan. En 1997 ses études la conduiront à Moscou pour travailler avec I. Tikhonov. Elle entre par la suite à l’école spéciale de musique P. I. Tchaïkovski puis au Conservatoire supérieur d’Erevan dans la classe de H. Smbatyan. En 2002 elle poursuit ses études au conservatoire National de Région de Marseille dans la classe de Philip Bride en violon et Florent Bremond en musique de chambre. Elle obtient un premier prix de musique de chambre et de violon à l’unanimité ainsi que son Diplôme d’études musicales. Elle se produit en sonate et trio à clavier dans de nombreux festivals et concerts à Marseille et dans les Bouches du Rhône. Elle remporte le prix du concours « Enfants du monde » et est amenée à jouer en soliste avec orchestre au Palais Longchamps, Palais du Pharo et au Théâtre de la Criée les concertos de Mendelssohn, Dvorak et de Vivaldi pour 2 violons avec P. Bride. Gayané continue son activité artistique en suivant les cours de violon en cycle de perfectionnement et complète sa formation avec des cours d’harmonie et contrepoint avec Pierre-Adrien Charpy. En 2006 elle rencontre Véronique Bogaerts et décide de continuer ses études au conservatoire Royal de Bruxelles. Durant ses études elle fait partie de nombreux projets de musique de chambre qui lui permettront de rencontrer la pianiste Aveline Gram avec qui elle se produira en concert au Conservatoire Royal de Bruxelles, au Musée des instruments de musique, au Concertgebouw de Brugge, et de travailler avec les maitres Muhidin Dürrüoglu, Guy Danel et Jean-Claude Van Den Eynden. Gayané a bénéficié des bourses de fondation Gulbenkian, fondation Wernaers, Rotary Club Bruxelles Nord, Lions Club.
Parallèlement à un cursus en piano, Alix Gauthier débute ses études d’alto au Conservatoire de Metz dans la classe de Vincent Roth. Elle poursuit ensuite ses études au CRR de Boulogne-Billancourt où elle obtient un DEM dans la classe de Sébastien Lévy, puis se perfectionne au CRR de Rueil-Malmaison avec Claire Merlet. Elle intègre ensuite le Pôle d’Enseignement Supérieur de la Musique de Bourgogne, et y obtient un DNSPM ainsi qu’un DE. Elle s’intéresse alors au jeu sur instruments d’époque, et poursuit en ce sens avec un Master à l’Université de Poitiers et à l’Abbaye aux Dames de Saintes.
Passionnée de musique de chambre, elle joue en quatuor à cordes, notamment sur instruments d’époque, mais se produit essentiellement au sein d’orchestres ; Alix joue très régulièrement avec l’Orchestre de Chambre Nouvelle-Aquitaine (dirigé par Jean-François Heisser), les orchestres parisiens Pasdeloup, Colonne et Lamoureux, ainsi qu’avec des ensembles jouant sur instruments d’époque, comme Les Siècles (dirigé par François-Xavier Roth), Les Ambassadeurs (Alexis Kossenko) ou encore l’Orchestre des Champs-Élysées (Philippe Herreweghe).
Alix Gauthier diversifie son répertoire en participant régulièrement à des séances d’enregistrement pour le cinéma, la télévision, ou en se produisant dans le milieu de l’événementiel, ce qui lui permet de voyager dans le monde entier. Elle enseigne actuellement au Conservatoire du XIIIème arrondissement de Paris.
Yaëlle Quincarlet étudie tout d’abord au Conservatoire de Grenoble, puis entre très jeune au Conservatoire National Supérieur de Paris dans la classe de Roland Pidoux, auprès de qui elle obtient un premier prix de musique de chambre en 1989 et un premier prix de Violoncelle en 1990. Elle se passionne pour la musique baroque et étudie le violoncelle baroque à l’École de Musique de Villeurbanne auprès d’Hilary Metzger. Elle étudie la viole de gambe auprès de Christine Plubeau au CRR de Grenoble.
Elle poursuit sa carrière en jouant au sein de divers orchestres tels que l’Ensemble Instrumental de Grenoble, l’Orchestre Châlon-Bourgogne, l’ensemble Anamorphose, la Camerata du Rhône, l’Orchestre National d’Auvergne, l’Orchestre de l’Opéra de Lyon, l'Orchestre Poitou-Charentes et les Soirées Lyriques de Sanxay. Elle est actuellement co-soliste de l’Orchestre de Chambre Nouvelle Aquitaine. Chambriste confirmée, elle a été membre du Sextuor à Cordes de Lyon et du trio Quark, et se produit régulièrement en trio et en sonate. Titulaire du Certificat d’Aptitude, elle enseigne au Conservatoire de Grenoble et au pôle Aliénor.
Aurélie Diebold débute l'apprentissage du violoncelle à 8 ans au Conservatoire de Strasbourg où elle obtient son Diplôme d'Études Musicales avec les félicitations du jury dans la classe d'Étienne Stoffel. Elle intègre ensuite le Conservatoire Royal de Bruxelles sous la tutelle de Didier Poskin. Elle y obtient en 2019 un Master en violoncelle avec Grande Distinction, lui permettant de participer au Concours des Lauréats du Conservatoire.
Férue de musique de chambre, elle a l'occasion de se perfectionner auprès de musiciens et d'ensembles tels que Michel Gaechter, Guy Danel, le trio Wanderer ou encore le quatuor Prazak. Elle obtient en 2016 le 1er prix du concours de la fondation Horlait-Dapsens en formation trio. Elle se produit régulièrement au sein d'ensembles tels que le Brussels Philharmonic Orchestra ou la Sotiropoulos Camerata, et a l'occasion de participer à des festivals variés (Musiq'3, Jazzdor, Courants d'air, Comme ça vous chante...).
Titulaire du Master Spécialisé avec distinction du Conservatoire Royal de Bruxelles (classe de Mikhail Faerman), et des Diplômes d'Études Musicales des Conservatoires de Montreuil et Poitiers (classes de Muriel Blaisse et Pierre-Yves Jalicon), Alice Rosset se perfectionne lors de stages et masterclasses auprès de Jean-Claude Pennetier, Alice Ader, Anne Queffélec, Romano Pallottini, Pierre Morabia, Catherine Schneider… Tout au long de ses études, elle s'intéresse à la musique de chambre et l'accompagnement, notamment auprès de François-Luc Chaurin, Alan Kenneth, Martine Ophèle, Florestan Boutin, Jérôme Voisin, Gabriel Teclu, Muhiddin Dürrüoglu...
Alice enregistre son premier disque solo en 2014 ; la tournée de cet album l'amène dans des festivals et salles de concerts, mais aussi chez des particuliers dans le cadre du projet "Réveiller les pianos qui dorment". Elle joue notamment dans le cadre du Festival des Grandes Heures de Cluny, du Festival Classique au Port de La Rochelle, du Festival de piano de La Charité-sur-Loire, des Scènes de Jardins, de l'Été Musical de Jurignac, du Festival Comme ça vous chante, du Festival d'été de La Maison du Chat Bleu ; dans divers lieux en France et à l'étranger (Concertgebouw d'Amsterdam, Grande Salle du Conservatoire Royal de Bruxelles, Institut Français de Madagascar et Église de Faravohitra à Antananarivo, Théâtres en Ile-de France (Herblay, Marly-le-Roi, Garches, Houilles...), Abbaye Royale et Salle de l'EDEN de Saint-Jean d'Angély, Château de Panloy, Prieuré de La Charité-sur-Loire...).
Aujourd'hui, Alice donne régulièrement des concerts avec HasinAkis, deux récitals-lectures, "Chopin/Sand, Lettre d'une amoureuse" (création 2016) et "Et si Duras aimait Bach" (création 2019) avec la comédienne Anne Danais (labelles & cie), et a l'occasion de jouer au sein de différents ensembles : Orchestre National de Lille (dir. J-C. Casadesus), Grand Chœur de l'Abbaye aux-Dames de Saintes (dir. Michel Piquemal), Orchestre Symphonique des Vals de Saintonge (dir. F. Gardré)... Elle se produit également à quatre mains (Yuko Hirota) et à deux pianos (Mahery Andriana), en sonate avec flûte (Emily Andrews) ou violoncelle (Aurélie Diebold), et en trio violon-violoncelle-piano. Elle remplace ponctuellement la pianiste Célia Oneto Bensaïd dans "Cendrillon avec ma soeur" avec la comédienne Olivia Dalric, et vient de créer le spectacle musical "Où es-tu Baba Yaga ?" avec la comédienne Juliette Mailhé-Casadesus (compagnie Bientôt Peut-être).
En parallèle, 1er violon du Quatuor Kalik, elle suit un cursus de Licence de quatuor à cordes dans la classe de Jean Sulem et s’épanouit dans cette formation avec laquelle elle bénéficie de master-classes régulières des quatuors Zemlinski, Modigliani et Ebene. En 2020 ils sont sélectionnés au Tremplin de jeunes quatuors de la Philharmonie de Paris et ont l’opportunité de se produire dans plusieurs festivals de musique de chambre. Passionnée d’orchestre également, Camille participe aux sessions d’orchestre de l’Orchestre français des jeunes en 2016 et de MusikA Académie sous la direction de Pierre Bleuse. En 2019 elle a la chance d’intégrer, lors d’un concert à la Cité de la Musique, l’Ensemble Intercontemporain en violon solo sous la direction de Matthias Pintscher.
Camille a participé à plusieurs concours de violon tels que le Concours Vatelot Rampal, Concours international Marie Cantagrill, Concours international Arthur Grumiaux, Concours international de Mirecourt.
Gayané Grigoryan, née à Erevan (Arménie), commence ses études musicales à l’âge de trois ans en piano, puis débute le violon à sept ans avec A. Aroutunyan. Des l’âge de neuf ans elle se produit en soliste à plusieurs reprises dans les concertos de Vivaldi et Mozart avec l’orchestre de chambre d’Erevan. En 1997 ses études la conduiront à Moscou pour travailler avec I. Tikhonov. Elle entre par la suite à l’école spéciale de musique P. I. Tchaïkovski puis au Conservatoire supérieur d’Erevan dans la classe de H. Smbatyan. En 2002 elle poursuit ses études au conservatoire National de Région de Marseille dans la classe de Philip Bride en violon et Florent Bremond en musique de chambre. Elle obtient un premier prix de musique de chambre et de violon à l’unanimité ainsi que son Diplôme d’études musicales. Elle se produit en sonate et trio à clavier dans de nombreux festivals et concerts à Marseille et dans les Bouches du Rhône. Elle remporte le prix du concours « Enfants du monde » et est amenée à jouer en soliste avec orchestre au Palais Longchamps, Palais du Pharo et au Théâtre de la Criée les concertos de Mendelssohn, Dvorak et de Vivaldi pour 2 violons avec P. Bride. Gayané continue son activité artistique en suivant les cours de violon en cycle de perfectionnement et complète sa formation avec des cours d’harmonie et contrepoint avec Pierre-Adrien Charpy. En 2006 elle rencontre Véronique Bogaerts et décide de continuer ses études au conservatoire Royal de Bruxelles. Durant ses études elle fait partie de nombreux projets de musique de chambre qui lui permettront de rencontrer la pianiste Aveline Gram avec qui elle se produira en concert au Conservatoire Royal de Bruxelles, au Musée des instruments de musique, au Concertgebouw de Brugge, et de travailler avec les maitres Muhidin Dürrüoglu, Guy Danel et Jean-Claude Van Den Eynden. Gayané a bénéficié des bourses de fondation Gulbenkian, fondation Wernaers, Rotary Club Bruxelles Nord, Lions Club.
Parallèlement à un cursus en piano, Alix Gauthier débute ses études d’alto au Conservatoire de Metz dans la classe de Vincent Roth. Elle poursuit ensuite ses études au CRR de Boulogne-Billancourt où elle obtient un DEM dans la classe de Sébastien Lévy, puis se perfectionne au CRR de Rueil-Malmaison avec Claire Merlet. Elle intègre ensuite le Pôle d’Enseignement Supérieur de la Musique de Bourgogne, et y obtient un DNSPM ainsi qu’un DE. Elle s’intéresse alors au jeu sur instruments d’époque, et poursuit en ce sens avec un Master à l’Université de Poitiers et à l’Abbaye aux Dames de Saintes.
Passionnée de musique de chambre, elle joue en quatuor à cordes, notamment sur instruments d’époque, mais se produit essentiellement au sein d’orchestres ; Alix joue très régulièrement avec l’Orchestre de Chambre Nouvelle-Aquitaine (dirigé par Jean-François Heisser), les orchestres parisiens Pasdeloup, Colonne et Lamoureux, ainsi qu’avec des ensembles jouant sur instruments d’époque, comme Les Siècles (dirigé par François-Xavier Roth), Les Ambassadeurs (Alexis Kossenko) ou encore l’Orchestre des Champs-Élysées (Philippe Herreweghe).
Alix Gauthier diversifie son répertoire en participant régulièrement à des séances d’enregistrement pour le cinéma, la télévision, ou en se produisant dans le milieu de l’événementiel, ce qui lui permet de voyager dans le monde entier. Elle enseigne actuellement au Conservatoire du XIIIème arrondissement de Paris.
Yaëlle Quincarlet étudie tout d’abord au Conservatoire de Grenoble, puis entre très jeune au Conservatoire National Supérieur de Paris dans la classe de Roland Pidoux, auprès de qui elle obtient un premier prix de musique de chambre en 1989 et un premier prix de Violoncelle en 1990. Elle se passionne pour la musique baroque et étudie le violoncelle baroque à l’École de Musique de Villeurbanne auprès d’Hilary Metzger. Elle étudie la viole de gambe auprès de Christine Plubeau au CRR de Grenoble.
Elle poursuit sa carrière en jouant au sein de divers orchestres tels que l’Ensemble Instrumental de Grenoble, l’Orchestre Châlon-Bourgogne, l’ensemble Anamorphose, la Camerata du Rhône, l’Orchestre National d’Auvergne, l’Orchestre de l’Opéra de Lyon, l'Orchestre Poitou-Charentes et les Soirées Lyriques de Sanxay. Elle est actuellement co-soliste de l’Orchestre de Chambre Nouvelle Aquitaine. Chambriste confirmée, elle a été membre du Sextuor à Cordes de Lyon et du trio Quark, et se produit régulièrement en trio et en sonate. Titulaire du Certificat d’Aptitude, elle enseigne au Conservatoire de Grenoble et au pôle Aliénor.
Aurélie Diebold débute l'apprentissage du violoncelle à 8 ans au Conservatoire de Strasbourg où elle obtient son Diplôme d'Études Musicales avec les félicitations du jury dans la classe d'Étienne Stoffel. Elle intègre ensuite le Conservatoire Royal de Bruxelles sous la tutelle de Didier Poskin. Elle y obtient en 2019 un Master en violoncelle avec Grande Distinction, lui permettant de participer au Concours des Lauréats du Conservatoire.
Férue de musique de chambre, elle a l'occasion de se perfectionner auprès de musiciens et d'ensembles tels que Michel Gaechter, Guy Danel, le trio Wanderer ou encore le quatuor Prazak. Elle obtient en 2016 le 1er prix du concours de la fondation Horlait-Dapsens en formation trio. Elle se produit régulièrement au sein d'ensembles tels que le Brussels Philharmonic Orchestra ou la Sotiropoulos Camerata, et a l'occasion de participer à des festivals variés (Musiq'3, Jazzdor, Courants d'air, Comme ça vous chante...).
Titulaire du Master Spécialisé avec distinction du Conservatoire Royal de Bruxelles (classe de Mikhail Faerman), et des Diplômes d'Études Musicales des Conservatoires de Montreuil et Poitiers (classes de Muriel Blaisse et Pierre-Yves Jalicon), Alice Rosset se perfectionne lors de stages et masterclasses auprès de Jean-Claude Pennetier, Alice Ader, Anne Queffélec, Romano Pallottini, Pierre Morabia, Catherine Schneider… Tout au long de ses études, elle s'intéresse à la musique de chambre et l'accompagnement, notamment auprès de François-Luc Chaurin, Alan Kenneth, Martine Ophèle, Florestan Boutin, Jérôme Voisin, Gabriel Teclu, Muhiddin Dürrüoglu...
Alice enregistre son premier disque solo en 2014 ; la tournée de cet album l'amène dans des festivals et salles de concerts, mais aussi chez des particuliers dans le cadre du projet "Réveiller les pianos qui dorment". Elle joue notamment dans le cadre du Festival des Grandes Heures de Cluny, du Festival Classique au Port de La Rochelle, du Festival de piano de La Charité-sur-Loire, des Scènes de Jardins, de l'Été Musical de Jurignac, du Festival Comme ça vous chante, du Festival d'été de La Maison du Chat Bleu ; dans divers lieux en France et à l'étranger (Concertgebouw d'Amsterdam, Grande Salle du Conservatoire Royal de Bruxelles, Institut Français de Madagascar et Église de Faravohitra à Antananarivo, Théâtres en Ile-de France (Herblay, Marly-le-Roi, Garches, Houilles...), Abbaye Royale et Salle de l'EDEN de Saint-Jean d'Angély, Château de Panloy, Prieuré de La Charité-sur-Loire...).
Aujourd'hui, Alice donne régulièrement des concerts avec HasinAkis, deux récitals-lectures, "Chopin/Sand, Lettre d'une amoureuse" (création 2016) et "Et si Duras aimait Bach" (création 2019) avec la comédienne Anne Danais (labelles & cie), et a l'occasion de jouer au sein de différents ensembles : Orchestre National de Lille (dir. J-C. Casadesus), Grand Chœur de l'Abbaye aux-Dames de Saintes (dir. Michel Piquemal), Orchestre Symphonique des Vals de Saintonge (dir. F. Gardré)... Elle se produit également à quatre mains (Yuko Hirota) et à deux pianos (Mahery Andriana), en sonate avec flûte (Emily Andrews) ou violoncelle (Aurélie Diebold), et en trio violon-violoncelle-piano. Elle remplace ponctuellement la pianiste Célia Oneto Bensaïd dans "Cendrillon avec ma soeur" avec la comédienne Olivia Dalric, et vient de créer le spectacle musical "Où es-tu Baba Yaga ?" avec la comédienne Juliette Mailhé-Casadesus (compagnie Bientôt Peut-être).
Mathieu ROBERT
"Mathieu Robert débute le saxophone classique à l'académie de Mons. Adolescent, il découvre le jazz, et se passionne pour le saxophone soprano, grâce à son professeur Fabrice Alleman. En 2007, il entre au Conservatoire de jazz de Bruxelles, où il travaille avec Steve Houben. Il terminera son Master de jazz au Conservatoire de jazz de Bruxelles, -section néerlandophone-, avec un Maître américain du saxophone John Ruocco. Mathieu Robert parfaira sa formation avec Pierre Vaiana, l'un des meilleurs spécialistes du saxophone soprano en Belgique. Depuis lors, Mathieu Robert forme un duo avec Pierre Vaiana. Mais l'autre grande influence de Mathieu, ce sera le saxophoniste américain Steve Lacy. C'est Pierre Vaiana qui convaincra notre invité de se consacrer exclusivement au soprano. Un instrument que Mathieu a adopté comme un partenaire, un compagnon, un conjoint. "Nous évoluons ensemble, comme un couple", nous confiera-t-il. La singularité de son instrument lui convient à merveille, et il aime explorer tous les chemins du jazz. Aujourd'hui, il sera beaucoup question de tempo, au sens d'un cœur qui bat, plutôt que d'un métronome sévère. "Ce n'est pas parce que le tempo n'est pas clairement marqué, qu'il n'y a pas de swing", souligne le saxophoniste Mathieu Robert, qui parie davantage sur la liberté qu'il accorde à ses partenaires, plutôt qu'à toute forme de contrainte.
(...) Mathieu Robert, un poète, un chercheur, un sculpteur, un plasticien du son, mais aussi un fin technicien, et un sacré improvisateur. Un artiste pluriel et complet à découvrir sans tarder."
Laurent GRAULUS (RTBF)
(...) Mathieu Robert, un poète, un chercheur, un sculpteur, un plasticien du son, mais aussi un fin technicien, et un sacré improvisateur. Un artiste pluriel et complet à découvrir sans tarder."
Laurent GRAULUS (RTBF)
DUNE
Complicité et affinité ; c’est ainsi que l’on pourrait qualifier la rencontre artistique entre Rafaël Koerner et Fanny Ménégoz.
Dès les premiers jours, ce duo atypique creuse sa ligne directrice, celle de jouer avec leurs instruments rarement associés seuls,
la flûte et la batterie. Au travers de compositions personnelles aux multiples facettes ainsi que de reprises de morceaux de compositeurs comme Benoît Delbecq, Ralph Alessi ou Thomas Chapin, Dune dévoile une musique empreinte de lignes mélodiques rêveuses,
de mouvements rythmiques en équilibre et d'improvisations où l'interaction et les prises de risque sont les maîtres-mots.
Ce duo si particulier à la sonorité primitive et sophistiquée fête cet été la sortie de son 1er album
"Voyage au creux d’un arbre" sur le label Neuklang.
Dès les premiers jours, ce duo atypique creuse sa ligne directrice, celle de jouer avec leurs instruments rarement associés seuls,
la flûte et la batterie. Au travers de compositions personnelles aux multiples facettes ainsi que de reprises de morceaux de compositeurs comme Benoît Delbecq, Ralph Alessi ou Thomas Chapin, Dune dévoile une musique empreinte de lignes mélodiques rêveuses,
de mouvements rythmiques en équilibre et d'improvisations où l'interaction et les prises de risque sont les maîtres-mots.
Ce duo si particulier à la sonorité primitive et sophistiquée fête cet été la sortie de son 1er album
"Voyage au creux d’un arbre" sur le label Neuklang.
- Fanny Ménégoz : Flûtes traversières et Composition
- Rafaël Koerner : Batterie et Composition
Fanny Ménégoz est flûtiste improvisatrice et compositrice, active sur la scène parisienne depuis 2008.
Influencée tant par les grands compositeurs du XXème et XXIème siècle comme Debussy, Bartók, Ligeti ou Messiaen, par Les géants du jazz tels que Coltrane, Miles Davis, Mingus, ou Paul Motian, que par des artistes français plus contemporains tels que Benoit Delbecq, Jozef Dumoulin ou encore Magic Malik, auprès de qui elle a passé plusieurs années à se former et se perfectionner, elle est à la recherche de la symbiose entre structure et intuition dans la composition, et développe un langage singulier à travers l’improvisation. Elle dirige le quartet Nobi et co-dirige le duo Dune. Elle joue dans la Fanfare XP de Magic Malik et 11h11 Orchestra #3 pour lesquels elle compose, dans l’Orchestre National de Jazz de Frédéric Maurin, et dans l’orchestre de Paul Wacrenier Healing Orchestra. Elle collabore plus ponctuellement avec la chanteuse réunionnaise Ann O’aro, Wolphonics et Chlorine Free.
Rafaël Koerner étudie la batterie dès l’enfance et se consacre entièrement à la musique dès l’âge de 16 ans en suivant une formation musicale globale à l’EDIM où il obtient un DEM jazz en 2005. Lors de cours particuliers, de workshops ou de master class à Paris et New-York il rencontre des musiciens importants dans l’évolution de son jeu comme Jim Black, Ralph Alessi, Tyshawn Sorey et Marc Ducret. Curieux de toutes formes musicales, il commence à se produire sur scène au début des années 2000 avec de nombreux groupes qui vont du reggae à la pop et au rock ainsi qu’au jazz traditionnel et contemporain. C’est particulièrement dans ce vaste monde qu’est le jazz qu’il va trouver ce qui le touche le plus, à la fois l’expressivité que permet l’improvisation, ainsi que la multiplicité des contextes musicaux, aussi formels que libres, où la créativité et la singularité sont omniprésentes. Il joue actuellement avec Dune (avec Fanny Ménégoz), l’Orchestre National de Jazz (Fred Maurin), Big Four (Julien Soro), Tikkun et Anti Rubber Brain Factory (Yoram Rosilio), François Puyalto, Odyssée 808 (Enzo Carniel – Maciek Lasserre), Free Flow & Fly (Andrew Crocker).
Son goût et sa sensibilité pour l’art l’amène à côtoyer d’autres disciplines comme le théâtre, notamment à travers sa collaboration depuis 2018 avec la comédienne Marjolaine Minot basé en Suisse autour du spectacle Je suis la Femme de ma Vie, auto fiction qu’il accompagne sur scène en solo. Avec le cinéma, où depuis 2012 il se produit en trio pour un ciné-concert sur le film muet « Le Manoir de la Peur » de 1927, en 2014-2015 sur le programme cinéma jeune public « Les Fantastiques Livres Volants » ou encore en 2018 sur le premier long métrage italien « Il Inferno » de 1911. Il s’est également produit au Théâtre Nationale de Chaillot à Paris en 2017 dans le cadre des journées du patrimoine pour deux après-midi d’improvisation avec 8 danseurs/danseuses et 3 musiciens.
Il a enregistré sur plus de 25 albums avec Dune, l’ONJ, Tikkun, Ping Machine, Big Four, Anti Rubber Brain Factory, François Puyalto, Odyssée 808, Red Quartet, Kami Quintet Extension, Free Flow and Fly…
Influencée tant par les grands compositeurs du XXème et XXIème siècle comme Debussy, Bartók, Ligeti ou Messiaen, par Les géants du jazz tels que Coltrane, Miles Davis, Mingus, ou Paul Motian, que par des artistes français plus contemporains tels que Benoit Delbecq, Jozef Dumoulin ou encore Magic Malik, auprès de qui elle a passé plusieurs années à se former et se perfectionner, elle est à la recherche de la symbiose entre structure et intuition dans la composition, et développe un langage singulier à travers l’improvisation. Elle dirige le quartet Nobi et co-dirige le duo Dune. Elle joue dans la Fanfare XP de Magic Malik et 11h11 Orchestra #3 pour lesquels elle compose, dans l’Orchestre National de Jazz de Frédéric Maurin, et dans l’orchestre de Paul Wacrenier Healing Orchestra. Elle collabore plus ponctuellement avec la chanteuse réunionnaise Ann O’aro, Wolphonics et Chlorine Free.
Rafaël Koerner étudie la batterie dès l’enfance et se consacre entièrement à la musique dès l’âge de 16 ans en suivant une formation musicale globale à l’EDIM où il obtient un DEM jazz en 2005. Lors de cours particuliers, de workshops ou de master class à Paris et New-York il rencontre des musiciens importants dans l’évolution de son jeu comme Jim Black, Ralph Alessi, Tyshawn Sorey et Marc Ducret. Curieux de toutes formes musicales, il commence à se produire sur scène au début des années 2000 avec de nombreux groupes qui vont du reggae à la pop et au rock ainsi qu’au jazz traditionnel et contemporain. C’est particulièrement dans ce vaste monde qu’est le jazz qu’il va trouver ce qui le touche le plus, à la fois l’expressivité que permet l’improvisation, ainsi que la multiplicité des contextes musicaux, aussi formels que libres, où la créativité et la singularité sont omniprésentes. Il joue actuellement avec Dune (avec Fanny Ménégoz), l’Orchestre National de Jazz (Fred Maurin), Big Four (Julien Soro), Tikkun et Anti Rubber Brain Factory (Yoram Rosilio), François Puyalto, Odyssée 808 (Enzo Carniel – Maciek Lasserre), Free Flow & Fly (Andrew Crocker).
Son goût et sa sensibilité pour l’art l’amène à côtoyer d’autres disciplines comme le théâtre, notamment à travers sa collaboration depuis 2018 avec la comédienne Marjolaine Minot basé en Suisse autour du spectacle Je suis la Femme de ma Vie, auto fiction qu’il accompagne sur scène en solo. Avec le cinéma, où depuis 2012 il se produit en trio pour un ciné-concert sur le film muet « Le Manoir de la Peur » de 1927, en 2014-2015 sur le programme cinéma jeune public « Les Fantastiques Livres Volants » ou encore en 2018 sur le premier long métrage italien « Il Inferno » de 1911. Il s’est également produit au Théâtre Nationale de Chaillot à Paris en 2017 dans le cadre des journées du patrimoine pour deux après-midi d’improvisation avec 8 danseurs/danseuses et 3 musiciens.
Il a enregistré sur plus de 25 albums avec Dune, l’ONJ, Tikkun, Ping Machine, Big Four, Anti Rubber Brain Factory, François Puyalto, Odyssée 808, Red Quartet, Kami Quintet Extension, Free Flow and Fly…
ÉLEUSIS
Jean-Christophe Kotsiras, piano - Blaise Chevallier, contrebasse - Rafaël Koerner, batterie
Puisant son énergie aux sources vives du jazz le plus exigeant, le trio fait sienne la devise de Lennie Tristano : "Jazz is not a style, it's a feeling".
Un cadre strict mais souple, une écriture riche et précise pour nourrir l'improvisation. Articulé autour des compositions de Jean-Christophe Kotsiras,
la musique du trio vise le mystère de l'expérience et questionne le principe même de toute relation.
Un cadre strict mais souple, une écriture riche et précise pour nourrir l'improvisation. Articulé autour des compositions de Jean-Christophe Kotsiras,
la musique du trio vise le mystère de l'expérience et questionne le principe même de toute relation.
Né en 1982, Jean-Christophe Kotsiras commence l'étude du piano classique à l'âge de 6 ans. Il étudie le piano auprès de Viktoria Harmandjeva puis de Michel Ravit (élève de Sergiu Celibidache), l'écriture et l'analyse classiques. Après des études musicales et littéraires à la Sorbonne, il se tourne vers le jazz. Il travaille le piano-jazz avec Patrick Villanueva et obtient un premier prix au CRD de Bobigny, ainsi qu'un premier prix au CRR de Paris en histoire du jazz, en piano et arrangement pour big band (où il étudie le piano auprès d'Emil Spanyi et de Manuel Rocheman, et l'histoire du jazz auprès de Jacques Schneck et de Philippe Baudoin). Il se perfectionne auprès de Jerry Bergonzi, Rick Margitza, Alan Broadbent... Parallèlement à ses études jazzistiques, il approfondit sa technique ainsi que sa connaissance de J.S.Bach et de Bartók auprès de Claudine Mellon (élève de Jean Fassina), de Natalia Valentin (pianofortiste) et de Jean-Christophe Dijoux (claveciniste, spécialiste de J.S.Bach). Il travaille et se produit actuellement avec Hasinakis, Woandering (duo avec le saxophoniste Philippe Lopes de Sa), le trio LYNKS (Philippe Monge et Philippe Lopes de Sa) et Lennie's (quintet autour de la musique de Lennie Tristano avec Ludovic Ernault, Pierre Bernier, Blaise Chevallier et Ariel Tessier). Dans toutes ces formations, il questionne le rapport entre musique écrite et improvisée, entre standards de jazz et improvisation libre, souvent par le prisme de compositions personnelles.
Contrebassiste de formation classique, Blaise Chevallier étudie dans la classe de Daniel Marillier. Il accompagne ensuite durant plusieurs années le compositeur chanteur et oudiste libanais Marcel Khalife (Queen Elizabeth Hall à Londres, Festivals de Rabat, de Beyrouth, de Tunis, d’Amman....). N’ayant parallèlement jamais cessé la pratique du jazz, il est amené à enregistrer et jouer régulièrement avec de nombreux musiciens tels que Leon Parker, Logan Richardson, Ricardo Izquierdo, Manuel Rocheman, Alain Jean Marie, Olivier Hutman, Manhu Roche, Olivier Témime, Romane etc...
Il fonde avec le trompettiste Yoann Loustalot le trio Aérophone produit par le label Fresh Sound New Talent. Concerts à Londres, Paris, Berlin, Barcelone..., dont plusieurs seront retransmis en direct sur France Musique. Il fait aujourd’hui partie de nombreuses formations : Lennie’s, Redstar Orchestra, David Patrois Quintet "Wild Poetry" et David Patrois Trio, Mathieu Tarot Quartet, Paul Wacrenier Healing Quintet, etc... et se produit dans les festivals et les clubs en France et à l’étranger.
Rafaël Koerner étudie la batterie dès l’enfance et se consacre entièrement à la musique dès l’âge de 16 ans en suivant une formation musicale globale à l’EDIM où il obtient un DEM jazz en 2005. Lors de cours particuliers, de workshops ou de master class à Paris et New-York il rencontre des musiciens importants dans l’évolution de son jeu comme Jim Black, Ralph Alessi, Tyshawn Sorey et Marc Ducret. Curieux de toutes formes musicales, il commence à se produire sur scène au début des années 2000 avec de nombreux groupes qui vont du reggae à la pop et au rock ainsi qu’au jazz traditionnel et contemporain. C’est particulièrement dans ce vaste monde qu’est le jazz qu’il va trouver ce qui le touche le plus, à la fois l’expressivité que permet l’improvisation, ainsi que la multiplicité des contextes musicaux, aussi formels que libres, où la créativité et la singularité sont omniprésentes. Il joue actuellement avec Dune (avec Fanny Ménégoz), l’Orchestre National de Jazz (Fred Maurin), Big Four (Julien Soro), Tikkun et Anti Rubber Brain Factory (Yoram Rosilio), François Puyalto, Odyssée 808 (Enzo Carniel – Maciek Lasserre), Free Flow & Fly (Andrew Crocker).
Son goût et sa sensibilité pour l’art l’amène à côtoyer d’autres disciplines comme le théâtre, notamment à travers sa collaboration depuis 2018 avec la comédienne Marjolaine Minot basé en Suisse autour du spectacle Je suis la Femme de ma Vie, auto fiction qu’il accompagne sur scène en solo. Avec le cinéma, où depuis 2012 il se produit en trio pour un ciné-concert sur le film muet « Le Manoir de la Peur » de 1927, en 2014-2015 sur le programme cinéma jeune public « Les Fantastiques Livres Volants » ou encore en 2018 sur le premier long métrage italien « Il Inferno » de 1911. Il s’est également produit au Théâtre Nationale de Chaillot à Paris en 2017 dans le cadre des journées du patrimoine pour deux après-midi d’improvisation avec 8 danseurs/danseuses et 3 musiciens.
Il a enregistré sur plus de 25 albums avec Dune, l’ONJ, Tikkun, Ping Machine, Big Four, Anti Rubber Brain Factory, François Puyalto, Odyssée 808, Red Quartet, Kami Quintet Extension, Free Flow and Fly…
Il fonde avec le trompettiste Yoann Loustalot le trio Aérophone produit par le label Fresh Sound New Talent. Concerts à Londres, Paris, Berlin, Barcelone..., dont plusieurs seront retransmis en direct sur France Musique. Il fait aujourd’hui partie de nombreuses formations : Lennie’s, Redstar Orchestra, David Patrois Quintet "Wild Poetry" et David Patrois Trio, Mathieu Tarot Quartet, Paul Wacrenier Healing Quintet, etc... et se produit dans les festivals et les clubs en France et à l’étranger.
Rafaël Koerner étudie la batterie dès l’enfance et se consacre entièrement à la musique dès l’âge de 16 ans en suivant une formation musicale globale à l’EDIM où il obtient un DEM jazz en 2005. Lors de cours particuliers, de workshops ou de master class à Paris et New-York il rencontre des musiciens importants dans l’évolution de son jeu comme Jim Black, Ralph Alessi, Tyshawn Sorey et Marc Ducret. Curieux de toutes formes musicales, il commence à se produire sur scène au début des années 2000 avec de nombreux groupes qui vont du reggae à la pop et au rock ainsi qu’au jazz traditionnel et contemporain. C’est particulièrement dans ce vaste monde qu’est le jazz qu’il va trouver ce qui le touche le plus, à la fois l’expressivité que permet l’improvisation, ainsi que la multiplicité des contextes musicaux, aussi formels que libres, où la créativité et la singularité sont omniprésentes. Il joue actuellement avec Dune (avec Fanny Ménégoz), l’Orchestre National de Jazz (Fred Maurin), Big Four (Julien Soro), Tikkun et Anti Rubber Brain Factory (Yoram Rosilio), François Puyalto, Odyssée 808 (Enzo Carniel – Maciek Lasserre), Free Flow & Fly (Andrew Crocker).
Son goût et sa sensibilité pour l’art l’amène à côtoyer d’autres disciplines comme le théâtre, notamment à travers sa collaboration depuis 2018 avec la comédienne Marjolaine Minot basé en Suisse autour du spectacle Je suis la Femme de ma Vie, auto fiction qu’il accompagne sur scène en solo. Avec le cinéma, où depuis 2012 il se produit en trio pour un ciné-concert sur le film muet « Le Manoir de la Peur » de 1927, en 2014-2015 sur le programme cinéma jeune public « Les Fantastiques Livres Volants » ou encore en 2018 sur le premier long métrage italien « Il Inferno » de 1911. Il s’est également produit au Théâtre Nationale de Chaillot à Paris en 2017 dans le cadre des journées du patrimoine pour deux après-midi d’improvisation avec 8 danseurs/danseuses et 3 musiciens.
Il a enregistré sur plus de 25 albums avec Dune, l’ONJ, Tikkun, Ping Machine, Big Four, Anti Rubber Brain Factory, François Puyalto, Odyssée 808, Red Quartet, Kami Quintet Extension, Free Flow and Fly…
EN ATTENDANT ROSA
Anne Danais, voix - Alice Rosset, piano
La Forêt de Fontainebleau de George Sand - Œuvres de Mel Bonis, Germaine Tailleferre, Clara Schumann
La Forêt de Fontainebleau de George Sand - Œuvres de Mel Bonis, Germaine Tailleferre, Clara Schumann
"Les idées rétrécies réagissent sur les sentiments qui s'appauvrissent et se faussent. L'homme a besoin de l’éden pour horizon.
Je sais bien que beaucoup disent : « Après nous la fin du monde ». C'est le plus hideux et le plus funeste blasphème que l'homme puisse proférer.
C'est la formule de sa démission d'homme, car c'est la rupture du lien qui unit les générations et qui les rend solidaires les unes des autres."
George Sand, le 6 novembre à Nohant 1872.
Je sais bien que beaucoup disent : « Après nous la fin du monde ». C'est le plus hideux et le plus funeste blasphème que l'homme puisse proférer.
C'est la formule de sa démission d'homme, car c'est la rupture du lien qui unit les générations et qui les rend solidaires les unes des autres."
George Sand, le 6 novembre à Nohant 1872.
"Dans « La Forêt de Fontainebleau », texte publié dans Le Temps du 13 novembre 1872, Sand répond publiquement à une demande d’artistes constitués en « Comité de protection artistique de la forêt de Fontainebleau » pour protester contre les coupes importantes qu’entend y faire l’État, après l’interruption imposée par la guerre, et malgré les coupes réalisées par les Prussiens. Le mouvement d’intérêt des artistes pour la forêt de Fontainebleau et sa défense est ancien. Mais ce texte de 1872 livre un regard renouvelé, et original par rapport à la position des artistes qui ont sollicité la romancière – qu’elle soutient tout en prenant quelque distance. Si elle reconnaît dans cette forêt un « monument naturel » qu’il faut défendre contre la logique de la rentabilité et du profit immédiat, elle appelle à envisager la question d’un point de vue plus large que celui des seuls artistes ou même d’un tourisme populaire, dans une réflexion à la fois écologique et politique.
Sa réflexion expose une conscience remarquable des interactions au sein d’un environnement où la destruction d’un élément a des répercussions sur tous les autres, et peut constituer une menace pour l’humanité même.
D’un point de vue éthico-politique, encore marqué par l’expérience de la guerre, Sand affirme que la forêt, et plus largement la nature, est un bien commun de l’humanité, nécessaire à sa survie morale comme physique. Il importe donc, en ces temps de « ruralité réaliste », de faire entendre, au-delà des protestations des élites – artistiques ou scientifiques – les droits du « genre humain » et de développer la conscience d’une responsabilité à l’égard des générations futures."
Christine PLANTE, Professeur à l’Université de Lyon II
Sa réflexion expose une conscience remarquable des interactions au sein d’un environnement où la destruction d’un élément a des répercussions sur tous les autres, et peut constituer une menace pour l’humanité même.
D’un point de vue éthico-politique, encore marqué par l’expérience de la guerre, Sand affirme que la forêt, et plus largement la nature, est un bien commun de l’humanité, nécessaire à sa survie morale comme physique. Il importe donc, en ces temps de « ruralité réaliste », de faire entendre, au-delà des protestations des élites – artistiques ou scientifiques – les droits du « genre humain » et de développer la conscience d’une responsabilité à l’égard des générations futures."
Christine PLANTE, Professeur à l’Université de Lyon II
Anne Danais est comédienne, chanteuse, auteure, compositrice, interprète, metteur en scène, pédagogue. Elle se forme en théâtre-chant-écriture-musique-clown auprès du Roy Art Théâtre, de Alain Knapp, Georges Bigot, Gilone Brun, Daniel Lemahieu, Carina Bonan, Jacques Bertin, Christian Dente, Marc Perrone… Elle collabore à de nombreux spectacles avec des compagnies indépendantes (Le journal d’une femme de chambre, Rue des bonnes femmes, Le parcours des humiliés…), en a créé elle-même comme chanteuse-comédienne (Ida voit le jour, Labelles d’âme, La Danais chante, Frau Rupfe…). Comme auteur-compositeur-interprète, elle se produit en concerts (Charente-Maritime, Calvados, Paris) et enregistre un album en 2004. D’autre part, elle développe des activités de formation au jeu théâtral pour des adultes et en milieu scolaire. On la retrouve dans le téléfilm "A la Recherche du Temps perdu" (2011) réalisé par Nina Companeez avec ARTE et France Télévisions. Elle interprète Françoise, la bonne de Proust aux côtés de Micha Lescot.
Aujourd'hui, elle joue Les soliloques de Mariette* (2009) en solo (+ de 400 fois), Fricassée de berniques sur lit de Prévert (2017) et Port racines (2016) avec Pierre Bertrand et Anaïs Renaudie, Chopin/Sand, Lettre d'une amoureuse (2016) et Et si Duras aimait Bach (2019) avec la pianiste Alice Rosset (compagnie labelles & cie). Anne Danais assure également la direction artistique de La Maison du Chat Bleu, créée en 2002, association loi 1901 à vocation culturelle en milieu rural qui crée et reçoit des spectacles (théâtre, poésie, lecture, musique), organise des stages de chant et de théâtre, des expositions, un travail sur la mémoire locale... Elle est installée dans les murs de l'ancienne école du village des Garlopeaux à Saint-Savinien-sur-Charente (17).
*Son spectacle « Les Soliloques de Mariette », mis en scène par Anne Quesemand, a été très largement salué par le public un peu partout en France. Mariette est passée par Avignon, les Landes, la Dordogne, les Hautes-Pyrénées, Paris (Théâtre du Petit Montparnasse)...
Aujourd'hui, elle joue Les soliloques de Mariette* (2009) en solo (+ de 400 fois), Fricassée de berniques sur lit de Prévert (2017) et Port racines (2016) avec Pierre Bertrand et Anaïs Renaudie, Chopin/Sand, Lettre d'une amoureuse (2016) et Et si Duras aimait Bach (2019) avec la pianiste Alice Rosset (compagnie labelles & cie). Anne Danais assure également la direction artistique de La Maison du Chat Bleu, créée en 2002, association loi 1901 à vocation culturelle en milieu rural qui crée et reçoit des spectacles (théâtre, poésie, lecture, musique), organise des stages de chant et de théâtre, des expositions, un travail sur la mémoire locale... Elle est installée dans les murs de l'ancienne école du village des Garlopeaux à Saint-Savinien-sur-Charente (17).
*Son spectacle « Les Soliloques de Mariette », mis en scène par Anne Quesemand, a été très largement salué par le public un peu partout en France. Mariette est passée par Avignon, les Landes, la Dordogne, les Hautes-Pyrénées, Paris (Théâtre du Petit Montparnasse)...
Alice Rosset et Jean-Christophe Kotsiras, piano
Ces deux pianistes aux parcours atypiques se rencontrent en 2008.
Après des études de piano classique dans plusieurs conservatoires (Paris, Bruxelles, Poitiers, Montreuil...), et des diplômes
dans différentes disciplines (instrument, écriture et analyse classiques et jazz, musique de chambre, histoire du jazz, langages contemporains...), leur voie s'affirme : Hasina cherche à faire exister le répertoire classique en dehors des salles de concert traditionnelles,
tandis que Akis s'intéresse au jazz et développe une approche de l'improvisation et de la composition où se mêlent classique et jazz. Ensemble, ils créent des liens improvisés, questionnent l'écrit, embrassent l'inattendu, explorent une carte sans cesse renouvelée...
Hasinakis fête cette année la sortie de son premier disque "LINEA, Bach avec Tristano".
Partenaires : Studio Le Trogl'Audio (95), Centre Chopin (75), La Fabrik d'images (42), Philippe Alen & Jean-Christophe Pratt (17), Nicolas Crouzevialle (91)
Après des études de piano classique dans plusieurs conservatoires (Paris, Bruxelles, Poitiers, Montreuil...), et des diplômes
dans différentes disciplines (instrument, écriture et analyse classiques et jazz, musique de chambre, histoire du jazz, langages contemporains...), leur voie s'affirme : Hasina cherche à faire exister le répertoire classique en dehors des salles de concert traditionnelles,
tandis que Akis s'intéresse au jazz et développe une approche de l'improvisation et de la composition où se mêlent classique et jazz. Ensemble, ils créent des liens improvisés, questionnent l'écrit, embrassent l'inattendu, explorent une carte sans cesse renouvelée...
Hasinakis fête cette année la sortie de son premier disque "LINEA, Bach avec Tristano".
Partenaires : Studio Le Trogl'Audio (95), Centre Chopin (75), La Fabrik d'images (42), Philippe Alen & Jean-Christophe Pratt (17), Nicolas Crouzevialle (91)
Diplômée du Conservatoire Royal de Bruxelles (classe de Mikhail Faerman), et des conservatoires de Montreuil et Poitiers (classes de Muriel Blaisse et Pierre-Yves Jalicon), Alice Rosset se perfectionne lors de stages et masterclasses auprès de Jean-Claude Pennetier, Alice Ader, Anne Queffélec, Romano Pallottini, Pierre Morabia, Catherine Schneider…
Alice enregistre son premier disque solo en 2014 ; la tournée de cet album l'amène dans des festivals et salles de concerts, mais aussi chez des particuliers dans le cadre du projet "Réveiller les pianos qui dorment". Elle joue notamment dans le cadre du Festival des Grandes Heures de Cluny, du Festival Classique au Port de La Rochelle, du Festival de piano de La Charité-sur-Loire, des Scènes de Jardins, de l'Été Musical de Jurignac, du Festival Comme ça vous chante, du Festival d'été de La Maison du Chat Bleu ; dans divers lieux en France et à l'étranger (Concertgebouw d'Amsterdam, Grande Salle du Conservatoire Royal de Bruxelles, Institut Français de Madagascar et Église de Faravohitra à Antananarivo, Théâtres en Ile-de France (Herblay, Marly-le-Roi, Garches, Houilles...), Abbaye Royale et Salle de l'EDEN de Saint-Jean d'Angély, Château de Panloy, Prieuré de La Charité-sur-Loire...).
Aujourd'hui, Alice donne régulièrement des concerts avec HasinAkis, deux récitals-lectures, "Chopin/Sand, Lettre d'une amoureuse" (création 2016) et "Et si Duras aimait Bach" (création 2019) avec la comédienne Anne Danais (labelles & cie), et a l'occasion de jouer au sein de différents ensembles : Orchestre National de Lille (dir. J-C. Casadesus), Grand Chœur de l'Abbaye aux-Dames de Saintes (dir. Michel Piquemal), Orchestre Symphonique des Vals de Saintonge (dir. F. Gardré)... Elle se produit également à quatre mains (Yuko Hirota) et à deux pianos (Mahery Andriana), en sonate avec flûte (Emily Andrews) ou violoncelle (Aurélie Diebold), et en trio violon-violoncelle-piano. Elle remplace ponctuellement la pianiste Célia Oneto Bensaïd dans "Cendrillon avec ma soeur" avec la comédienne Olivia Dalric, et vient de créer le spectacle musical "Où es-tu Baba Yaga ?" avec la comédienne Juliette Mailhé-Casadesus (compagnie Bientôt Peut-être).
Depuis plusieurs années, Alice explore également d'autres univers musicaux (chanson, jazz, musiques brésiliennes), notamment au Centre des Musiques Didier Lockwood, ainsi qu'aux côtés de Jean-Christophe Kotsiras, Gaëtan Henrion, Duo Absinthe, Camila Ronza...
Né en 1982, Jean-Christophe Kotsiras commence l'étude du piano classique à l'âge de 6 ans. Il étudie le piano auprès de Viktoria Harmandjeva puis de Michel Ravit (élève de Sergiu Celibidache), l'écriture et l'analyse classiques. Après des études musicales et littéraires à la Sorbonne, il se tourne vers le jazz. Il travaille le piano-jazz avec Patrick Villanueva et obtient un premier prix au CRD de Bobigny, ainsi qu'un premier prix au CRR de Paris en histoire du jazz, en piano et arrangement pour big band (où il étudie le piano auprès d'Emil Spanyi et de Manuel Rocheman, et l'histoire du jazz auprès de Jacques Schneck et de Philippe Baudoin). Il se perfectionne auprès de Jerry Bergonzi, Rick Margitza, Alan Broadbent... Parallèlement à ses études jazzistiques, il approfondit sa technique ainsi que sa connaissance de J.S.Bach et de Bartók auprès de Claudine Mellon (élève de Jean Fassina), de Natalia Valentin (pianofortiste) et de Jean-Christophe Dijoux (claveciniste, spécialiste de J.S.Bach). Il travaille et se produit actuellement avec Hasinakis, Woandering (duo avec le saxophoniste Philippe Lopes de Sa), le trio LYNKS (Philippe Monge et Philippe Lopes de Sa) et Lennie's (quintet autour de la musique de Lennie Tristano avec Ludovic Ernault, Pierre Bernier, Blaise Chevallier et Ariel Tessier). Dans toutes ces formations, il questionne le rapport entre musique écrite et improvisée, entre standards de jazz et improvisation libre, souvent par le prisme de compositions personnelles.
Alice enregistre son premier disque solo en 2014 ; la tournée de cet album l'amène dans des festivals et salles de concerts, mais aussi chez des particuliers dans le cadre du projet "Réveiller les pianos qui dorment". Elle joue notamment dans le cadre du Festival des Grandes Heures de Cluny, du Festival Classique au Port de La Rochelle, du Festival de piano de La Charité-sur-Loire, des Scènes de Jardins, de l'Été Musical de Jurignac, du Festival Comme ça vous chante, du Festival d'été de La Maison du Chat Bleu ; dans divers lieux en France et à l'étranger (Concertgebouw d'Amsterdam, Grande Salle du Conservatoire Royal de Bruxelles, Institut Français de Madagascar et Église de Faravohitra à Antananarivo, Théâtres en Ile-de France (Herblay, Marly-le-Roi, Garches, Houilles...), Abbaye Royale et Salle de l'EDEN de Saint-Jean d'Angély, Château de Panloy, Prieuré de La Charité-sur-Loire...).
Aujourd'hui, Alice donne régulièrement des concerts avec HasinAkis, deux récitals-lectures, "Chopin/Sand, Lettre d'une amoureuse" (création 2016) et "Et si Duras aimait Bach" (création 2019) avec la comédienne Anne Danais (labelles & cie), et a l'occasion de jouer au sein de différents ensembles : Orchestre National de Lille (dir. J-C. Casadesus), Grand Chœur de l'Abbaye aux-Dames de Saintes (dir. Michel Piquemal), Orchestre Symphonique des Vals de Saintonge (dir. F. Gardré)... Elle se produit également à quatre mains (Yuko Hirota) et à deux pianos (Mahery Andriana), en sonate avec flûte (Emily Andrews) ou violoncelle (Aurélie Diebold), et en trio violon-violoncelle-piano. Elle remplace ponctuellement la pianiste Célia Oneto Bensaïd dans "Cendrillon avec ma soeur" avec la comédienne Olivia Dalric, et vient de créer le spectacle musical "Où es-tu Baba Yaga ?" avec la comédienne Juliette Mailhé-Casadesus (compagnie Bientôt Peut-être).
Depuis plusieurs années, Alice explore également d'autres univers musicaux (chanson, jazz, musiques brésiliennes), notamment au Centre des Musiques Didier Lockwood, ainsi qu'aux côtés de Jean-Christophe Kotsiras, Gaëtan Henrion, Duo Absinthe, Camila Ronza...
Né en 1982, Jean-Christophe Kotsiras commence l'étude du piano classique à l'âge de 6 ans. Il étudie le piano auprès de Viktoria Harmandjeva puis de Michel Ravit (élève de Sergiu Celibidache), l'écriture et l'analyse classiques. Après des études musicales et littéraires à la Sorbonne, il se tourne vers le jazz. Il travaille le piano-jazz avec Patrick Villanueva et obtient un premier prix au CRD de Bobigny, ainsi qu'un premier prix au CRR de Paris en histoire du jazz, en piano et arrangement pour big band (où il étudie le piano auprès d'Emil Spanyi et de Manuel Rocheman, et l'histoire du jazz auprès de Jacques Schneck et de Philippe Baudoin). Il se perfectionne auprès de Jerry Bergonzi, Rick Margitza, Alan Broadbent... Parallèlement à ses études jazzistiques, il approfondit sa technique ainsi que sa connaissance de J.S.Bach et de Bartók auprès de Claudine Mellon (élève de Jean Fassina), de Natalia Valentin (pianofortiste) et de Jean-Christophe Dijoux (claveciniste, spécialiste de J.S.Bach). Il travaille et se produit actuellement avec Hasinakis, Woandering (duo avec le saxophoniste Philippe Lopes de Sa), le trio LYNKS (Philippe Monge et Philippe Lopes de Sa) et Lennie's (quintet autour de la musique de Lennie Tristano avec Ludovic Ernault, Pierre Bernier, Blaise Chevallier et Ariel Tessier). Dans toutes ces formations, il questionne le rapport entre musique écrite et improvisée, entre standards de jazz et improvisation libre, souvent par le prisme de compositions personnelles.
LYNKS
Philippe Lopes de Sa, saxophones - Jean-Christophe Kotsiras, piano - Philippe Monge, contrebasse
« Tout a commencé par un jeu. Un jeu d'équipe, avec la règle suivante : on improviserait autour des standards de jazz. Pas d'ordre, pas d'annonce de morceaux à l'avance, pas d'enchaînements prévus. Juste une liste de standards, un réservoir plutôt qu'un répertoire. Le reste dépendrait de notre habilité à créer du lien. Liens logiques, liens harmoniques, liens rythmiques, liens culturels, et surtout liens humains. Lynks. »
Philippe Lopes De Sa est un saxophoniste qui aime explorer les territoires de jeu offerts par l'improvisation. Salué par la presse (mention « Révélation » par Jazz Magazine, diffusion dans l'émission Banzzaï sur France Musique), son premier album "Woandering" explore la liberté et l'interaction développée avec Jim Funnel au piano et la percussionniste Akiko Horii en invitée. Toujours en quête de nouvelles expériences, il joue dans des projets très différents : deux albums avec Donna Khalifé (Heavy Dance et Hope, jazz contemporain et improvisation libre), No(o)s (duo avec Jean-Christophe Kotsiras autour de compositions et inspiré des musiques de Tristano, Konitz, Jarret, Shorter), Blue tangerine, Le Spécial Gumbo (Jazz New Orleans), et collabore régulièrement avec Word Out (trio jazz de Jim Funnell) et Afuriko (duo world-jazz avec Jim funnell et Akiko Horii), Jean Philippe Bondy Trio. Philippe Lopes de Sa a joué avec Organic Quintet (Florent Corbou, Stéphane Echampard, Leïla Martial, Pierre Tereygeol, Illya Amar), John Betsh, Louis Moutin, Emmanuel Bex, Simon Goubert, Sébastien Texier, Marc Buronfosse, Frédéric Loiseau, Nicolas Genest, Florent Nisse, Alexandre Herer, Matthieu Marthouret, Joachim Govin, Federico Casagrande, Rémy Gauche...
Né en 1982, Jean-Christophe Kotsiras commence l'étude du piano classique à l'âge de 6 ans. Il étudie le piano auprès de Viktoria Harmandjeva puis de Michel Ravit (élève de Sergiu Celibidache), l'écriture et l'analyse classiques. Après des études musicales et littéraires à la Sorbonne, il se tourne vers le jazz. Il travaille le piano-jazz avec Patrick Villanueva et obtient un premier prix au CRD de Bobigny, ainsi qu'un premier prix au CRR de Paris en histoire du jazz, en piano et arrangement pour big band (où il étudie le piano auprès d'Emil Spanyi et de Manuel Rocheman, et l'histoire du jazz auprès de Jacques Schneck et de Philippe Baudoin). Il se perfectionne auprès de Jerry Bergonzi, Rick Margitza, Alan Broadbent... Parallèlement à ses études jazzistiques, il approfondit sa technique ainsi que sa connaissance de J.S.Bach et de Bartók auprès de Claudine Mellon (élève de Jean Fassina), de Natalia Valentin (pianofortiste) et de Jean-Christophe Dijoux (claveciniste, spécialiste de J.S.Bach). Il travaille et se produit actuellement avec Hasinakis, Woandering (duo avec le saxophoniste Philippe Lopes de Sa), le trio LYNKS (Philippe Monge et Philippe Lopes de Sa) et Lennie's (quintet autour de la musique de Lennie Tristano avec Ludovic Ernault, Pierre Bernier, Blaise Chevallier et Ariel Tessier). Dans toutes ces formations, il questionne le rapport entre musique écrite et improvisée, entre standards de jazz et improvisation libre, souvent par le prisme de compositions personnelles.
Philippe Monge commence la musique dans l'Essonne à l'âge de 8 ans. Son premier instrument est la flûte traversière mais il ajoute assez rapidement le piano. Parallèlement à l'apprentissage instrumental, il a la chance de baigner dans un environnement musical où la pratique vocale et le chant en chorale ont une grande importance. Après un déménagement dans le Val-de-Marne, il poursuit la flûte traversière et commence des études de psychologie à Paris V puis Paris VIII, jusqu'en maîtrise. Philippe Monge obtient un prix de flûte traversière au Conservatoire de Vincennes, puis commence la contrebasse à l'âge de 20 ans. Il prend des cours avec le contrebassiste Marc Buronfosse et obtient son Diplôme d’Etudes Musicales en jazz à l’ENMD de Montreuil, sous la direction de Malo Vallois. Egalement diplômé du CMDL (Centre des Musiques Didier Lockwood) il se forme aussi à l’occasion de nombreux stages auprès de Hein Van De Gein, Giovanni Mirrabassi, Henri Texier, Daniel Humair, Joe Labarbera, Aldo Romano et Eddie Gomez […] Philippe a par ailleurs travaillé deux ans aux côtés de Leon Parker dans son ensemble de jazz & Vocal Body Rhythm. En 2012, Philippe écrit et joue sur scène la musique d'une pièce de théâtre jeune public "Loulou" (d’après l’oeuvre de Grégoire Solotareff) pour la compagnie "Les Muettes Bavardes". Le spectacle tourne actuellement partout en France. Philippe Monge joue aux côtés du guitariste Rémy Gauche, dont le deuxième disque "Nature urbaine" avec Stéphane Guillaume en invité est sorti en 2013 et le troisième album "Obscurity of Light" avec Pierre de Bethmann sort en 2018. Philippe Monge enregistre et joue dans les projets du clarinettiste Marc Boutillot ("Lumière sur la nuit" - sorti en octobre 2016), du batteur Vincent Touchard ("Classe Moyenne" - sorti en 2017), de la chanteuse Anissa Bensalah (Album en 2018)... Parallèlement, il développe son projet de concert solo "Mes héros en question" autour de chansons de sa composition.
Né en 1982, Jean-Christophe Kotsiras commence l'étude du piano classique à l'âge de 6 ans. Il étudie le piano auprès de Viktoria Harmandjeva puis de Michel Ravit (élève de Sergiu Celibidache), l'écriture et l'analyse classiques. Après des études musicales et littéraires à la Sorbonne, il se tourne vers le jazz. Il travaille le piano-jazz avec Patrick Villanueva et obtient un premier prix au CRD de Bobigny, ainsi qu'un premier prix au CRR de Paris en histoire du jazz, en piano et arrangement pour big band (où il étudie le piano auprès d'Emil Spanyi et de Manuel Rocheman, et l'histoire du jazz auprès de Jacques Schneck et de Philippe Baudoin). Il se perfectionne auprès de Jerry Bergonzi, Rick Margitza, Alan Broadbent... Parallèlement à ses études jazzistiques, il approfondit sa technique ainsi que sa connaissance de J.S.Bach et de Bartók auprès de Claudine Mellon (élève de Jean Fassina), de Natalia Valentin (pianofortiste) et de Jean-Christophe Dijoux (claveciniste, spécialiste de J.S.Bach). Il travaille et se produit actuellement avec Hasinakis, Woandering (duo avec le saxophoniste Philippe Lopes de Sa), le trio LYNKS (Philippe Monge et Philippe Lopes de Sa) et Lennie's (quintet autour de la musique de Lennie Tristano avec Ludovic Ernault, Pierre Bernier, Blaise Chevallier et Ariel Tessier). Dans toutes ces formations, il questionne le rapport entre musique écrite et improvisée, entre standards de jazz et improvisation libre, souvent par le prisme de compositions personnelles.
Philippe Monge commence la musique dans l'Essonne à l'âge de 8 ans. Son premier instrument est la flûte traversière mais il ajoute assez rapidement le piano. Parallèlement à l'apprentissage instrumental, il a la chance de baigner dans un environnement musical où la pratique vocale et le chant en chorale ont une grande importance. Après un déménagement dans le Val-de-Marne, il poursuit la flûte traversière et commence des études de psychologie à Paris V puis Paris VIII, jusqu'en maîtrise. Philippe Monge obtient un prix de flûte traversière au Conservatoire de Vincennes, puis commence la contrebasse à l'âge de 20 ans. Il prend des cours avec le contrebassiste Marc Buronfosse et obtient son Diplôme d’Etudes Musicales en jazz à l’ENMD de Montreuil, sous la direction de Malo Vallois. Egalement diplômé du CMDL (Centre des Musiques Didier Lockwood) il se forme aussi à l’occasion de nombreux stages auprès de Hein Van De Gein, Giovanni Mirrabassi, Henri Texier, Daniel Humair, Joe Labarbera, Aldo Romano et Eddie Gomez […] Philippe a par ailleurs travaillé deux ans aux côtés de Leon Parker dans son ensemble de jazz & Vocal Body Rhythm. En 2012, Philippe écrit et joue sur scène la musique d'une pièce de théâtre jeune public "Loulou" (d’après l’oeuvre de Grégoire Solotareff) pour la compagnie "Les Muettes Bavardes". Le spectacle tourne actuellement partout en France. Philippe Monge joue aux côtés du guitariste Rémy Gauche, dont le deuxième disque "Nature urbaine" avec Stéphane Guillaume en invité est sorti en 2013 et le troisième album "Obscurity of Light" avec Pierre de Bethmann sort en 2018. Philippe Monge enregistre et joue dans les projets du clarinettiste Marc Boutillot ("Lumière sur la nuit" - sorti en octobre 2016), du batteur Vincent Touchard ("Classe Moyenne" - sorti en 2017), de la chanteuse Anissa Bensalah (Album en 2018)... Parallèlement, il développe son projet de concert solo "Mes héros en question" autour de chansons de sa composition.
Carnets de campagne sur France Inter le 20 mars 2019 (7ème minute)
Le Festival Comme ça vous chante se déroule chaque été en Charente-Maritime. Ce festival met un point d'honneur à faire se côtoyer musiques écrites et improvisées au cœur d'une même soirée. Il donne une large place aux projets de créations et aux jeunes artistes.
Chaque année (entre 2012 et 2019) est constitué un orchestre symphonique éphémère : l'Orchestre du Grand Village. Ce projet symbolise l'esprit du festival en réunissant des musiciens de tous horizons autour d’œuvres du répertoire classique et de créations jazz symphonique.
Durant les précédentes éditions le festival a accueilli des formations éclectiques :
orchestre symphonique, quintet jazz hip-hop, trio jazz improvisé, trio à cordes, piano à quatre mains, grandes formations jazz/funk, trio violon/violoncelle/piano, deux pianos, duo flûte-guitare... se sont ainsi produits sur la scène de Comme Ça Vous Chante.
À l'origine du festival, Alice Rosset, pianiste originaire de la région. Son parcours l'a amenée à rencontrer nombre de musiciens classiques et jazz. L'idée première était de réunir ces musiciens à la campagne pour créer, échanger, jouer ensemble puis présenter leur travail dans un cadre festif et privé. Suite à l'engouement général est créée une association qui permettra d'organiser officiellement la première édition du festival Comme Ça Vous Chante en août 2012.
Chaque année (entre 2012 et 2019) est constitué un orchestre symphonique éphémère : l'Orchestre du Grand Village. Ce projet symbolise l'esprit du festival en réunissant des musiciens de tous horizons autour d’œuvres du répertoire classique et de créations jazz symphonique.
Durant les précédentes éditions le festival a accueilli des formations éclectiques :
orchestre symphonique, quintet jazz hip-hop, trio jazz improvisé, trio à cordes, piano à quatre mains, grandes formations jazz/funk, trio violon/violoncelle/piano, deux pianos, duo flûte-guitare... se sont ainsi produits sur la scène de Comme Ça Vous Chante.
À l'origine du festival, Alice Rosset, pianiste originaire de la région. Son parcours l'a amenée à rencontrer nombre de musiciens classiques et jazz. L'idée première était de réunir ces musiciens à la campagne pour créer, échanger, jouer ensemble puis présenter leur travail dans un cadre festif et privé. Suite à l'engouement général est créée une association qui permettra d'organiser officiellement la première édition du festival Comme Ça Vous Chante en août 2012.
"FESTIVAL DU TALENT ET DE LA GÉNÉROSITÉ"
L'HEBDO
"Le festival Comme ça vous chante (...) a tenu toutes ses promesses ce week-end
et a offert au public de tous âges six concerts de choix."
SUD-OUEST, B. Bouillon (2015)
L'HEBDO
"Le festival Comme ça vous chante (...) a tenu toutes ses promesses ce week-end
et a offert au public de tous âges six concerts de choix."
SUD-OUEST, B. Bouillon (2015)
"La petite Cité de caractère accueillera en ses murs la jeune pianiste de caractère, ambassadrice de la musique partagée dans la diversité (et ce n'est pas la moindre des valeurs en ces temps incertains). L'Abbaye des Augustins aura une fois encore le privilège d'offrir son bel écrin sonore à la délicatesse des deux des plus beaux concertos pour piano 21 et 23 composés par Mozart. Des œuvres qui entrent littéralement en résonance avec l'esprit qui anime Alice, de par leur raffinement, leurs mélodies ciselées, leur exigence d'un toucher délicat délicat et leur communion avec l'orchestre."
L'HEBDO, C. Guichard (2016)
L'HEBDO, C. Guichard (2016)
"PLUS QU'UN SIMPLE FESTIVAL"
SUD-OUEST
SUD-OUEST
"Le festival de musique "Comme ça vous chante" a révélé des artistes de grand talent
dans un subtil bouquet classique et jazz. Les 21, 22 et 23 août, Alice Rosset a offert
au public un programme musical d'une qualité exceptionnelle interprété par
de jeunes artistes venus de toute la France, et même de Madagascar."
L'HEBDO, C. Guichard (2014)
dans un subtil bouquet classique et jazz. Les 21, 22 et 23 août, Alice Rosset a offert
au public un programme musical d'une qualité exceptionnelle interprété par
de jeunes artistes venus de toute la France, et même de Madagascar."
L'HEBDO, C. Guichard (2014)